Si je devais résumer un peu ma pensée par une image complètement idiote et décalée, je dirais que les femmes japonaises, c’est comme un puzzle Ravensburger ™ : ça se manipule facilement et c’est bon pour tous, de 7 à 77 ans.
Nan parce qu’il faut quand même avouer que le cliché vieillot et poussiéreux de la femme au foyer bien docile est encore fortement présent au Japon.
Voilà c’est dit.
Maintenant que la moitié de la gente féminine de Frenchnerd me méprise et que l’autre moitié me déteste, je voudrais préciser que ce cliché est maintenu en vie principalement grâce, ou à cause, selon votre point de vue, des universités pour femmes, où vous pouvez obtenir l’équivalent local d’un Master en « Gestion polyvalente du foyer urbain, spécialité cérémonie du thé et repassage ». Ca donne envie, hein ? Je tenais à écrire ceci pour montrer que je ne suis pas misogyne mais un simple voyageur qui a observé cela durant mes courts séjours là bas 😛
Je trouve pas que les japonais soient à plaindre, et on pourrait éventuellement soutenir la thèse qui consisterait à dire que leurs nanas sont quand même moins casse couilles que leurs versions européennes avec le cerveau rempli des propos émancipateurs de Louise Michel, Rosa Luxembourg, Simone de Beauvoir ou encore Larusso (hé oui, voilà les noms qui sortent quand on tape « grandes féministes » sur google).
Enfin bon, tout ceci reste évidemment conjugué au conditionnel et je ne saurais tenir des propos pareils, moi fervent admirateur de la femme française libérée.
Alors pour en revenir à nos japonaises, (et surtout pour me sortir de ce scabreux raisonnement que j’ai développé durant ces dernières lignes), le plus intéressant reste qu’elles sont fans des français.
En effet, avec la tête remplie des pubs des grandes marques de cosmétiques, de vêtements et autres accessoires de modes, elles pensent vraiment que nous, français, sommes tous raffinés, élégants, distingués, prévenants, attentionnés, gentils, polis, propres, intelligents.
Alors messieurs, vous me la ferez pas à l’envers, on se reconnaît tous dans au moins deux adjectifs cités précédemment mais dans certainement pas plus que trois…
Mais bon, il faut voir ça du bon côté : ça veut dire que même le lover français bas de gamme, celui qui sent un peu trop le déodorant bon marché et qui ressemble au fils caché de Jean Claude Dusse et Doc Gynéco, a toutes les chances d’affirmer pleinement sa virilité en allant au pays du soleil levant.
Donc Messieurs, dépêchez vous d’y aller, parce qu’un jour les françaises brieferont les japonaises à notre propos et on l’aura vraiment dans le c…
Thibault